Colin Farrell est Douglas Quaid, un ouvrier lambda qui rêve d'être agent secret. Il se rend chez Rekall, une société révolutionnaire qui peut lui implanter des souvenirs de son fantasme. Mais la procédure est tourne mal, la frontière entre rêve et réalité se brouille et Quaid se retrouve traqué par la police ... Avec également Kate Beckinsale, Jessica Biel, et Bryan Cranston,
Total Recall: Mémoires Programmées est une expérience inoubliable, remplie de scènes d'action incroyables et d'effets spéciaux à couper le souffle.
Tandis que se poursuit la guerre entre les vampires, au mode de vie aristocratique, et les loups-garous, issus des bas-fonds urbains, la vampire Selene tente de comprendre les motifs de cette farouche rivalité qui dure depuis des siècles. Par ailleurs, la jeune suceuse de sang cherche à en savoir davantage sur ses propres origines, à l'instar de son amoureux Michael, qui est à moitié loup-garou. Pendant ce temps, le maître des vampires Viktor entreprend de dominer la planète grâce à une nouvelle race de créatures diaboliques.
Au coeur des Carpates, il est un monde de légendes et de mystères : la Transylvanie... Une terre où le mal règne en maître absolu, où le danger rôde dès le coucher du soleil, où prennent corps les monstres qui hantent nos cauchemars les plus secrets. Van Helsing est un ténébreux professeur et chasseur de monstres. Sa mission l'amène à affronter de terribles êtres, parmi lesquels le loup-garou, la créature de Frankenstein ou encore le comte Dracula, qui, depuis des générations, persécute la famille de l'intrépide et aristocratique Anna Valerious.
Une guerre quasi invisible mais terriblement sanglante se déroule dans nos rues, à notre insu : depuis des millénaires, les lycans (loups-garous) affrontent les vampires dans une lutte sans merci. Selene, vampire et combattante d'élite, commence à avoir des doutes sur les raisons et les enjeux de cette guerre quand Michael Corvin, un humain, s'y retrouve mêlé malgré lui? Roméo et Juliette tendance gothique, c'est le parti pris de ce film sombre à l'esthétique post-Matrix mâtiné de Dark City et autres The Crow, où le cuir et le latex s'ornent de reflets verts et de tâches de sang, le tout sur fond de hard rock contestataire. Les amateurs seront aux anges, car le film va au-delà de l'effet de mode : le scénario réserve quelques surprises et les acteurs se défendent à merveille dans un registre pourtant éprouvé. Kate Beckinsale en tête, sexy et venimeuse à souhait.
A thoroughly routine romantic comedy rendered more aggravating by its incessant near-miss plot structure, Serendipity gets its few pleasures not from its leads but from its often-inspired supporting cast. Once again making a bid for romantic star status, John Cusack proves that he's only as good as the material he's provided; the movie rarely allows him to show the loose, natural persona he exhibited in 2000's High Fidelity. The same can be said for Kate Beckinsale, a talented young actress whose spirit seems dulled as her character is forced to leap through numerous logistic hurtles, all in the name of chance. Serendipity's main problem isn't with the actors but their script: Since they're allowed such a brief sliver of time together at the movie's outset, it's hard for the audience to have a vested interest in whether or not they end up together at the end. Along the way, however, we're treated to a host of ancillary laughs, the best of which come from John Corbett as a trippy, dippy world-music star, and the ever-reliable Eugene Levy as an anal-retentive store clerk.